Marquise de G.
H. sur T. - Fleurs - Feuilles d'or - Herbe
100 cm x 81 cm
- réf: FF9

Cette marquise m’avait accordé ses faveurs un soir lors d’un week-end qu’elle passait au château. À chaque fois qu’elle ouvrait les cuisses, j’avais la vague impression que cette grande dame se faisait servir plutôt qu’elle ne baisait. Je me vengeais sournoisement en lui infligeant ex abrupto une pénétration anale qu’elle ne put éviter et jouis de son corps comme elle jouissait du mien, sans vergogne.
Un auteur libertin du dix huitième siècle qui poussait la modestie jusqu’à signer ses ouvrages coquins du nom d’Anonyme écrivait « qui n’a pas été branlé par une Duchesse ignore le plaisir ». Imaginez le mien tandis que j’enculais la Marquise !
Je menai à ma façon une lutte des classes dont j’étais assuré de sortir gagnant. Dans un futur indéfini je constatai que ces dames à particule étaient toutes bien allantes et si l’éducation qu’elles reçurent à quelques raisons à voir avec leur bon vouloir au réduit, encensons leurs maîtres, nous leurs sommes redevables de quelques rares étreintes.
Vous en souvenez-vous Marquise de G… ? Et vous Comtesse de R… ? Et vous encore jeune nobliote Monique de V. native de Romorantin ?
Extrait du roman autobiographique « Erotiques et Autres Mémories »
Par L. de C.